vendredi 12 octobre 2007
6 mois : point à la ligne !
Et voilà, 6 mois déjà ce sont écoulés. Le temps passe, avance, défile et nous voilà rendu à la fin de notre périple. Beaucoup de chose se sont passé en 6 mois et on peut dire que beaucoup de BONNES choses se sont passées. Nous voilà devenu riche : riche de souvenirs, riche d’image, riche de connaissances. En un mot, on peut dire qu’on est heureux. Heureux de s’être bougé un peu, heureux d’avoir pris cette décision et de s’être lancé dans ce voyage.
Avec ces 6 mois, c’est donc une parenthèse qui se ferme, mais ce ne sera que pour mieux ouvrir la prochaine !
On vous remercie tous de nous avoir suivis à votre rythme et de nous avoir gardé un peu près de vous avec vos commentaires.
Fermez la parenthèse, point, à la ligne… Ouvrez la parenthèse…
mardi 9 octobre 2007
Pestacle
Le tango semble disparaître de Buenos Aires pendant la semaine. Aucun danseur a l’horizon, cruelle déception… Heureusement, les aires de tango nous font siffloter dans toutes les rues. Heureusement aussi que l’orchestre philharmonique de Buenos Aires nous a fait la faveur d’un concert. Un pianiste exceptionnel a la folie aussi développé que son génie.
26 ans
lundi 8 octobre 2007
Buenos Aires
Ça donne le tournis : des tours qui crève le ciel, des voitures et des bus qui fourmillent de partout et des gens, beaucoup de gens… J’avais oublié qu’es ce que c’était une grande ville, mais ça nous fait une bonne préparation avant le retour à Paris.
En tout cas, Buenos Aires est pleine de surprises. Des quartiers tous bien différents, mais tous remplis de charme. Quel plaisir de flâner au gré de nos envies dans ces rues charmantes…
vendredi 5 octobre 2007
Et la boucle est bouclée…
mercredi 3 octobre 2007
Las cataratas del Iguazu desde los lados brasileros y argentinos
Bon, Marion connaissait déjà non et je doit dire que c’est… gigantissime ! incroyable ! vraiment impressionnant !!
D’une part, il y a le parc national Iguazu, qui regorge d’une faune, d’une flore et donc d’une ambiance exceptionnelle.
Mais il y a en plus ces fabuleuses chutes d’eau, qui brassent des tonnes et des tonnes d’eau ! Comment il peut en tomber autant, ça ne s’arrêtera jamais ? Toute cette eau en mouvement, alors que l’on a vu tant d’endroits désertiques et que le manque d’eau se ressent déjà sur la planète… Mais coupez le flotteur de la chasse d’eau, c’est indécent à la fin !!
Magnifique, incroyable !!
PS : au fait, pour avoir vu les deux, le côté argentin est bien mieux que le brésilien. Un poil plus cher, il est néanmoins plus agréable, ayant beaucoup de sentiers à arpenter, le panorama est plus large et complet et de voir les chutes d’en haut, en voyant tomber cette eau à l’origine si tranquille, popopo !!!
D’une part, il y a le parc national Iguazu, qui regorge d’une faune, d’une flore et donc d’une ambiance exceptionnelle.
Mais il y a en plus ces fabuleuses chutes d’eau, qui brassent des tonnes et des tonnes d’eau ! Comment il peut en tomber autant, ça ne s’arrêtera jamais ? Toute cette eau en mouvement, alors que l’on a vu tant d’endroits désertiques et que le manque d’eau se ressent déjà sur la planète… Mais coupez le flotteur de la chasse d’eau, c’est indécent à la fin !!
Magnifique, incroyable !!
PS : au fait, pour avoir vu les deux, le côté argentin est bien mieux que le brésilien. Un poil plus cher, il est néanmoins plus agréable, ayant beaucoup de sentiers à arpenter, le panorama est plus large et complet et de voir les chutes d’en haut, en voyant tomber cette eau à l’origine si tranquille, popopo !!!
mardi 2 octobre 2007
San Ignacio Mini
Justement la province de Misiones se nomme Misiones car elle abrite la majorité des « reducciones » (entendez par là « colonies ») jésuites de cette région partagée par le Paraguay et le sud du Brésil, le long du fleuve Parana, gigantesque serpent se faufilant dans la forêt.
La mission jésuite la mieux conservée car restaurée est celle de San Ignacio Mini, qui a vu le jour vers la fin du XVIème siècle. Les Jésuites étaient une organisation d’ecclésiastes catholiques fondée au XVème siècle, sous l’égide du Pape, et qui s’est donné comme mission d’évangéliser les nouvelles terres découvertes, notamment celles des lointaines Amériques. Les indiens Guarani occupaient alors la majorité des terres nouvellement conquises et, persécutés par les Portugais coté Brésil et les colons hispaniques au sud, ils acceptèrent d’intégrer les communautés jésuites. Au nombre de 30 dans cette zone, ces « missions » se donnaient pour but d’éduquer les indigènes, notamment en termes d’organisation sociale et du travail, dans une logique « à priori » de respect mutuel.
Je ne sais qu’en penser, étant donné qu’il s’agit quand même de prosélytisme accentué, mais il faut bien admettre que les colonies se sont considérablement développées en 50 ans seulement jusqu’à l’expulsion des Jésuites par la couronne d’Espagne, et ceci en démultipliant la population et en conservant une grande partie de la culture originelle des Guarani (art, mode de vie,..).
La mission jésuite la mieux conservée car restaurée est celle de San Ignacio Mini, qui a vu le jour vers la fin du XVIème siècle. Les Jésuites étaient une organisation d’ecclésiastes catholiques fondée au XVème siècle, sous l’égide du Pape, et qui s’est donné comme mission d’évangéliser les nouvelles terres découvertes, notamment celles des lointaines Amériques. Les indiens Guarani occupaient alors la majorité des terres nouvellement conquises et, persécutés par les Portugais coté Brésil et les colons hispaniques au sud, ils acceptèrent d’intégrer les communautés jésuites. Au nombre de 30 dans cette zone, ces « missions » se donnaient pour but d’éduquer les indigènes, notamment en termes d’organisation sociale et du travail, dans une logique « à priori » de respect mutuel.
Je ne sais qu’en penser, étant donné qu’il s’agit quand même de prosélytisme accentué, mais il faut bien admettre que les colonies se sont considérablement développées en 50 ans seulement jusqu’à l’expulsion des Jésuites par la couronne d’Espagne, et ceci en démultipliant la population et en conservant une grande partie de la culture originelle des Guarani (art, mode de vie,..).
dimanche 30 septembre 2007
En route vers le nord
jeudi 27 septembre 2007
El Bolson
lundi 24 septembre 2007
Bariloche et El Nahuel Huapi
Bon, ba voilà, j’ai trouvé où je pourrais habiter quand je serais grande. Je sais même ou exactement. Vous voyez ce petit bout d’île là ? Et bien voilà, juste ce qu’il faut pour construire ma maison !!
Trêve de plaisanteries. Le lago Nahuel Huapi est vraiment somptueux, grandiose et si calme et apaisant… Un vrai paradis sur terre ! On a fait des randos un peu partout autour et sous tous les angles il est vraiment beau.
Un petit échec quand même. On voulait faire du parapente pour le voir aussi d’en haut (bas oui, il est vraiment beau sous tous les angles !). Mais la mollesse du prof à tout fait tomber à l’eau (mais pas l’eau du lac…). Après avoir attendu tout l’après-midi que monsieur se décide à descendre, on a dû se rendre a l’évidence : pas de temps pour nous… snifff…
À Bariloche, on dit aussi au revoir à Anne, 3 semaines déjà… resnifff…
Trêve de plaisanteries. Le lago Nahuel Huapi est vraiment somptueux, grandiose et si calme et apaisant… Un vrai paradis sur terre ! On a fait des randos un peu partout autour et sous tous les angles il est vraiment beau.
Un petit échec quand même. On voulait faire du parapente pour le voir aussi d’en haut (bas oui, il est vraiment beau sous tous les angles !). Mais la mollesse du prof à tout fait tomber à l’eau (mais pas l’eau du lac…). Après avoir attendu tout l’après-midi que monsieur se décide à descendre, on a dû se rendre a l’évidence : pas de temps pour nous… snifff…
À Bariloche, on dit aussi au revoir à Anne, 3 semaines déjà… resnifff…
samedi 22 septembre 2007
jeudi 20 septembre 2007
Extrême sud (enfin, NOTRE extrême sud…)
Soit Chiloé !
Cette île, au sud ouest du Chili, est réputée pour sa pluie incessante. Nous y avons passé 3 jours presque sans une goutte, voire même avec un grand soleil ! Quelle bande de p’tits veinards on fait…
3 jours donc, à se promener d’îles en îles au bord du pacifique et des bateaux colorés.
Cette fois-ci on n’a pas résisté à l’envie de mettre les pieds à l’eau. Et bien on ne s’y baignerait pas quand même !
Cette île, au sud ouest du Chili, est réputée pour sa pluie incessante. Nous y avons passé 3 jours presque sans une goutte, voire même avec un grand soleil ! Quelle bande de p’tits veinards on fait…
3 jours donc, à se promener d’îles en îles au bord du pacifique et des bateaux colorés.
Cette fois-ci on n’a pas résisté à l’envie de mettre les pieds à l’eau. Et bien on ne s’y baignerait pas quand même !
mercredi 19 septembre 2007
Encore de l’eau chaude !
Retour au Chili.
A Entre Lagos, l’eau est naturellement chauffée par les volcans du coin. On atteint des températures de 75 degrés. En se baignant à 38, l’eau est déjà bien chaude…
Et c’est encore plus de bonheur dans les p’tits puits creusés au bord de la rivière avec une pluie bien froide qui vient nous rappeler comme l’eau est chaude !
mardi 18 septembre 2007
Villa la Angostura
lundi 17 septembre 2007
La région des lacs
La région des lacs, comme son nom l’indique, regorge de lacs petits, moyens et grands (surtout grands d’ailleurs…)
Petite ballade dans les hauteurs de San Martin pour voir le Lago Lacár dans toute sa splendeur. Et surtout avec le soleil qui s’est enfin décidé à nous rendre visite, difficile de résister à une petite sieste !!
Petite ballade dans les hauteurs de San Martin pour voir le Lago Lacár dans toute sa splendeur. Et surtout avec le soleil qui s’est enfin décidé à nous rendre visite, difficile de résister à une petite sieste !!
Promenade d’hiver
Nous voilà rendus à San Martin de Los Andes et la neige est toujours là ! Si on veut aller se balader, on va devoir faire avec.
Alors on fait nos p’tits malins et on part se promener raquettes aux pieds !!
Les paysages sont vierges et inexplorés, mystérieux même avec ce brouillard qui ne se décide pas a nous quitter…
vendredi 14 septembre 2007
Les volcans de Payunia
Debout pour une journée dans les volcans de la région de Malargue.
Des paysages interminables, des volcans à perte de vue, des couleurs inimaginables : dur à expliquer, voilà un petit apercu en images (même si les photos sont loin de représenter ce que nos yeux ont pu voir…)
Mais bon il fisait pas super beau, et la neige a coulée à flot sur toute la route du retour…
Des paysages interminables, des volcans à perte de vue, des couleurs inimaginables : dur à expliquer, voilà un petit apercu en images (même si les photos sont loin de représenter ce que nos yeux ont pu voir…)
Mais bon il fisait pas super beau, et la neige a coulée à flot sur toute la route du retour…
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